Komunikat Prasowy

Udostępnij

PREMIER VOYAGE EN AUSTRALIE POUR BWT ALPINE F1 TEAM

BWT Alpine F1 Team va fouler le sol australien, ce week-end, pour la première fois en trois ans, à l’occasion du premier Grand Prix d’Australie à se dérouler dans son intégralité depuis 2019. Pilote de réserve du team, Oscar Piastri est originaire de Melbourne. Il nous fait part de son ressenti avant le retour de la F1 sur son sol, à l’issue d’une semaine chargée qui le verra fêter ses 21 ans.

Ce doit être sympa d’avoir son anniversaire et son Grand Prix à domicile la même semaine non?

« Ça va être une semaine chargée, c’est certain ! Mon anniversaire tombe le mercredi, et le Grand Prix est dans la foulée. Ce sera le retour du Grand Prix d’Australie après deux ans d’absence. Je pense que la foule sera conséquente et l’événement énorme. J’ai hâte. Et puis le fait, en plus de tout cela, de pouvoir voir ma famille, c’est très spécial pour moi. »


Que pensez-vous des modifications apportées à l’Albert Park ? Avez-vous pu les voir ?

« Je les ai vues et, clairement, ça va aller beaucoup plus vite qu’avec l’ancien tracé. Je ne sais pas à quel point les chronos tomberont, mais j’ai parcouru le circuit sur simulateur et c’est significativement plus rapide. La section du retour où ils ont retiré la chicane est dorénavant une grosse ligne droite menant à un virage à droite. Il pourrait y avoir là des tentatives de dépassement intéressantes et des voitures côte à côte à très haute vitesse. Ça promet. Je pense que ces nouvelles monoplaces peuvent davantage se suivre à vitesse élevée, donc que ces changements leur conviendront bien. »


Comment jugez-vous les prestations de l’équipe sur les deux premières courses de la saison ?

« Je pense que le bilan est plutôt positif jusque-là. Nous avons bien débuté à Bahreïn, où nous avons ouvert notre compteur en hissant nos deux monoplaces dans les points. Je pense que nous avions le potentiel pour faire un petit peu mieux, mais mettre les deux voitures dans le top dix à l’issue de la première course de la saison est un bon résultat pour l’équipe. En Arabie saoudite, ça se présentait très bien, mais la voiture de Fernando a malheureusement rencontré un problème. C’est une entame prometteuse, mais je suis certain que le meilleur est à venir. »


Le fait d'être dans la voie des stands et dans le garage vous a-t-il donné une nouvelle perspective de l'équipe et du sport ?

« Je pense, oui. Particulièrement le fait de voir les fans revenir, mais aussi d’avoir la possibilité de découvrir les autres facettes de ce sport que le pilotage, et notamment la gestion des médias et la relation avec le public. Il y a bien plus de choses à gérer que dans les formules de promotion. Je pense que c’est la spécificité la plus importante à laquelle j’ai dû m’habituer. En fin de compte, c’est toujours une équipe de course. Je pense que toutes les écuries de référence en sport automobile ont des points communs. Avoir l’opportunité d’écouter ce qui se dit dans le garage et sur le muret des stands est très instructif. J’essaie d’apprendre autant que possible pour, je l’espère, être en mesure de mettre tout ça en application quand je serai sur la grille de départ. »


Meilleur début de saison


Ce week-end, au Grand Prix d’Australie, Esteban Ocon vise une troisième arrivée de rang dans les points, après avoir terminé à la sixième place en Arabie saoudite. Pour son troisième Grand Prix à Melbourne, Esteban entend bien poursuivre le meilleur début de saison de sa carrière en Formule 1.


Vous venez de vivre deux week-ends positifs au Moyen-Orient, en marquant à chaque fois des points, ce qui vous permet d’être sixième du championnat Pilotes. Quel regard portez-vous sur ce début de saison?


« Il est évident qu’il s’agit d’une entame de saison très positive pour moi. Plus je conduis cette nouvelle voiture plus je la comprends et plus je pense qu’en tant qu’équipe, nous allons dans la bonne direction. Nous prouvons que nous sommes déjà compétitifs et c’est bon signe pour tout le monde. C’est le témoignage du dur travail abattu par tous les hommes et toutes les femmes de nos usines durant l’hiver, et j’espère que nous serons en mesure de continuer ainsi et même de nous améliorer. Mais la saison sera longue, nous savons qu’il s’agit d’un marathon et non d’un sprint, et que la clé pour atteindre nos objectifs est la régularité. Cette semaine, nous avons passé beaucoup de temps à débriefer des deux premières courses et à préparer Melbourne, de manière à y avoir le meilleur package possible pour le grand retour de la F1 en Australie. »


À quel point avez-vous hâte de retourner à Melbourne, l’un des événements les plus appréciés du calendrier ?

« Il est certain qu’y retourner est très enthousiasmant. La dernière fois que nous nous sommes rendus en Australie, les circonstances étaient bizarres. Depuis, le monde a bien changé. J’ai personnellement toujours apprécié courir là-bas et l’ambiance y est toujours géniale. Je pense qu’en dépit de la distance, tout le monde est ravi d’y retourner. Melbourne est une ville super et je suis content que nous soyons en mesure d’y revenir, en espérant proposer un beau spectacle aux fans australiens, qui sont très passionnés. »


La piste a quelque peu changé depuis notre dernière visite. Que pensez-vous de ce nouveau tracé ?

« L’Albert Park a toujours été un circuit plaisant. Cette année, les modifications sont significatives et contribuent à accroître notre impatience. Par exemple, le virage 9/10 a été supprimé et si les changements apportés au virage 6/7 semblent minimes, ils ont un impact substantiel sur la vitesse de passage en courbe. Ces modifications devraient permettre d’améliorer les chronos de plusieurs secondes par rapport à notre dernière venue. Ces nouveautés et cette nouvelle génération de voitures promettent une belle course et de belles batailles en piste. Nous sommes impatients et j’ai hâte de tester tout cela en vrai vendredi matin. »


L’heure de concrétiser


Fernando Alonso se rend en Australie, pour sa dix-septième apparition aux antipodes, sa première dans la ville culturelle de Melbourne depuis 2018. L'Espagnol a, en ce début de saison, signé de belles performances, malgré un manque de réussite l’ayant privé d'une place au côté de son coéquipier dans le top 6 du classement Pilotes.


Êtes-vous impatient de courir à nouveau à Melbourne quatre ans après votre dernière apparition ?

« Oui, courir à Melbourne est toujours plaisant. Ça remonte, mais nous sommes tous contents d’y retourner. C’est habituellement la manche d’ouverture de la saison, il sera donc intéressant de voir si la météo est différente de celle que nous avons l’habitude d’avoir là-bas. J’aime la piste, bien que dépasser y soit compliqué. Des modifications ont été apportées pour y remédier, nous verrons donc si ça a porté ses fruits. Je pense clairement que nous ne verrons pas autant de dépassements qu’à Bahreïn et en Arabie saoudite. Mais avec ces nouvelles voitures, se suivre semble plus facile, donc en théorie ce devrait être également plus facile de doubler un concurrent ici que par le passé. »


Vous avez signé de bonnes performances jusqu'à présent cette année, mais la malchance vous a joué des tours. Quel bilan tirez-vous de ces deux premières courses ?

« Nous méritons de figurer bien plus haut dans le classement après ces deux premières courses. Notre voiture est compétitive, et la performance était là tout au long de ces deux week-ends. Le dernier a été décevant, car nous étions en bonne forme et nous dirigions vers la sixième place avant notre abandon. C’est frustrant, mais nous pouvons être contents du rythme que nous avons affiché jusque-là. C’est le dimanche que les points sont distribués et nous devons donc mettre tout en oeuvre pour y parvenir. L’intégralité de l’équipe travaille dur pour s’assurer que nous restions au top en termes de développement et quelques évolutions sont prévues pour la première partie de saison. »


Esteban et vous avez eu des batailles divertissantes sur la piste lors du dernier Grand Prix. Comment l’avez-vous vécu?

« Nous nous sommes livrés un duel haletant mais à la loyale en Arabie saoudite, ainsi qu’à Bahreïn. Nous nous respectons beaucoup l’un l’autre, et l’équipe le sait. Nous nous sommes battus, avons été très proches à plusieurs reprises, mais nous contrôlions la situation. Et, au final, nous sommes des pilotes. Nous savons que l’équipe passe avant tout, et nous l’avons tous deux en tête quand nous roulons roues contre roues. J’espère que vous avez apprécié le spectacle autant que nous apprécions avoir entre les mains une voiture capable de se battre ainsi en virage comme en ligne droite. Je suis persuadé qu’il y aura d’autres batailles avec Esteban et le reste du peloton cette année, car en dehors de deux monoplaces, c’est serré entre bon nombre de teams. »


Un jour dans la vie de… Arlete Caetano, Technicienne Composite


De quoi êtes-vous responsable ? Qu’est-ce que cela implique, que faites-vous ?

« Les techniciens composite sont chargés de fabriquer des composants pour construire la voiture. Nous travaillons dans ce que nous appelons une salle blanche, à savoir une zone dont la température et l'humidité sont contrôlées et l'air filtré par des filtres Hepa 10 fois par heure. Nous fabriquons principalement des composants de classe A, tels le châssis, la suspension, les ailerons avant/arrière, les supports de boîte de vitesses et de nombreux autres composants. Pour produire ces éléments, nous utilisons une variété de matériaux composites comme la fibre de carbone. Je travaille avec les techniciens composites les plus talentueux et les plus qualifiés. »


Décrivez-nous votre journée-type…

« Le département utilise une to-do list qui décrit les priorités de la journée. La direction décide ensuite des éléments que je serai chargée de fabriquer ce jour-là. Pour pouvoir les produire, je dois suivre un croquis de conception, qui fournit toutes les informations qui me sont nécessaires à l’instar du matériau à utiliser, les spécifications et les mesures à respecter. »


Comment avez-vous obtenu ce travail ? Quel est votre parcours et pourquoi avez-vous souhaité faire cela ?

« J'ai fait mes premiers pas dans le monde de la Formule 1 il y maintenant plus de 10 ans. J'ai grandi au Brésil et je n'ai jamais rêvé d'en faire partie. Pourquoi ? Parce que cela me semblait bien trop compliqué à atteindre pour quelqu'un issu d'un milieu aussi pauvre que le mien. J'ai déménagé au Royaume-Uni il y a quelques années, ai fait divers boulots et ai travaillé dur. Un jour, après avoir vu la restauration de vieux meubles que j'avais faite, un ami qui travaille en Formule 1 m’a dit que je ferais une bonne technicienne composite, car j’avais l’oeil, le souci du détail et une bonne habileté manuelle. Je ne savais pas de quoi il s’agissait, mais j’ai saisi la chance que la vie m'offrait. J'ai obtenu un poste de stagiaire pour tout savoir du rôle d'un technicien en matériaux composites et je suis tombée amoureuse de ce métier. J'ai aimé ce que je faisais et n’ai, depuis, jamais cessé de faire ce que j’aime. »


Y a-t-il un moment qui vous a marquée davantage que les autres ?

« Oui, en 2012, quand j’ai regardé la première course de la saison tout en sachant que j’avais fièrement travaillé sur la suspension montée sur la voiture. »


Quelle est la partie la plus complexe de votre travail ?

« Voir une des nos voitures impliquées dans un incident. »


Et la meilleure ?

« L’enthousiasme que suscite en moi chaque week-end l’espoir de voir l’équipe décrocher un bon résultat. »


Que faites-vous après une journée de travail ? Comment vous détendez-vous ?

« J’enfile mon costume de mère de famille, qui reste la meilleure partie de moi-même. »


Que faites-vous le soir avant de vous coucher?

« Je lis un livre »


Plan B… Si vous n’aviez pas décroché ce poste, qu’auriez-vous fait?

« Je serais devenue psychologue. »



Informations sur le Grand Prix d’Australie

·La saison 2022 marque le retour du Grand Prix d’Australie au calendrier pour la première fois en trois ans. Les dernières modifications apportées à la piste pourraient améliorer jusqu’à cinq secondes les chronos en qualification.

·La sixième place d’Esteban Ocon au Grand Prix d’Arabie saoudite est, jusque-là, son meilleur résultat cette saison.

·En 2006, Fernando Alonso avait remporté le Grand Prix d’Australie après s’être élancé troisième.

·En 2017, pour ses débuts en tant que titulaire à l’année, Esteban avait réussi à rentrer dans les points.

·Fernando n’est plus qu’à 18 unités de la barre des 2000 points marqués en Formule 1. Seuls deux pilotes ont fait mieux (Lewis Hamilton et Sebastian Vettel).

·En tant que motoriste, Renault a signé huit victoires à Melbourne, la dernière en 2013.

·Renault F1 Team a réussi à décrocher deux victoires de rang en Australie, en 2005 et 2006.


Esteban Ocon

Départs – 2

Points – 1

Moyenne de points – 0.5

Meilleure qualification – 1:24.503 (2018)

Meilleur tour en course – 0

Meilleure résultat – P10

Meilleure position sur la grille – P13

Fernando Alonso

Départs – 16

Points – 115

Moyenne de points – 8.8

Meilleure qualification – 1:23.597

Meilleur tour en course – 1 (2005)

Meilleure résultat – P1 (2006)

Meilleure position sur la grille – P2


Les moteurs Renault en Australie

Départs – 138

Victoires – 8

Podiums – 23

Pole Positions – 10

Meilleur tour en course – 9

Points marqués – 412


Résultat de l’équipe l’an passé

Alonso

Grille – N/A

Course – N/A


Ocon

Grille – N/A

Course – N/A


Galeria

Pliki do pobrania

Pozostań w kontakcie

Śledź nas w mediach społecznościowych

Nasza strona internetowa wykorzystuje pliki cookies